Ce jour n’a jamais aussi bien porté son nom.Dès le réveil mon Maître Dyonysos me fait gravir une échelle de sensations en me retournant et en investissant ma petite porte qui s’ouvre devant ses caresses invasives. Le plaisir explose dans ma tête et dans mes reins. Rien de tel pour débuter une journée.
Au coucher du soleil, il m’entraîne dans sa salle de jeux. La journée a mis nos corps a rude épreuve, mais qu’importe déjà l’appel des sens prend le dessus.
Maître me fait déshabiller devant lui puis place mon collier, les bracelets et lâche un seul mot : Ouverte.
La 9ème position , qu’Il m’ a fait apprendre et répéter avec Lui. J’escalade le matelas pour me présenter à Lui tel qu’Il me l’a demandé .
J’entends le tiroir glisser et Il se saisit d’un objet. Je ne tarde pas à comprendre : les lanières du martinet claquent sur mes fesses pointées.
Je sursaute de surprise, une des langues en cuir a attaqué la chair tendre de ma muqueuse et d’instinct je me recroqueville, mon Maître me rappelle ma position et enchaîne les coups. Je serre mes lèvres en craignant que les bandes ne s’égarent .
Maître semble satisfait et ouvre une seconde fois le meuble et l’éclat cette fois-ci est plus sec, je reconnais la cravache et compte une à une les rudes caresses.
Position Ouverte . Son ton ne souffre aucune attente, je m’exécute pendant que j’entends le cliquetis des chaines.Le métal froid est jeté sur mon ventre.
Mon précepteur se concentre maintenant pour attacher mes chevilles à mes poignets et Il tend les chaînes au plafond, je suis exhibée au regard de mon Maître et son grognement de satisfaction emplit mon esprit de gratitude. Je suis son jouet et rien d’autre ne pourrait me donner plus de raison d’être.Seul ce moment compte.
Ses doigts s’introduisent en moi et écartent mon anus encore vibrant de notre séance matinale. Je le sens m’ouvrir, Il travailles mes chairs, sa main saisit un objet placé à côté de Lui et je réprime un hoquet de surprise, Il glisse d’un geste très sûr ce qui me semble être une tige et entre progressivement , profondément .
Oh je ne le crois pas ! Voilà qu’Il se glisse en moi , par-dessus l’objet , je crois que mon cul va exploser.
Maintenant son autre main attrape un second outil qu’il enfonce dans ma muqueuse vaginale inondée de liquide. Un long manche souple vient frotter mon intimité obscure. Je suis comme suspendue à ces deux faveurs, pendue aux maillons qui se choquent en rythme avec les à-coups qui me travaillent le corps.
Mon Maître a très envie de jouer ce soir. Il place un bandeau sur mes yeux, noir total. J’entends le bourdonnement de ce que j’appelle « le micro ». Je frémis dans l’attente du contact et mon Maître me fait savamment saliver. Une toute petite touche, je gémis, puis une autre plus appuyée, je suis en fièvre, et soudain il se branche sur mon clitoris et je laisse jaillir mon plaisir, ce toucher me fait plonger dans les délices, vibre sur moi, en moi, tourne sur moi, et je ne résiste pas longtemps à ce supplice, la délectation envahit mon corps.
Mon infatigable Maître m’intime de me placer en Humble.
L’air siffle quand la badine s’abat. Je rentre ma douleur je
Lui offre ma peau. Je pince mes lèvres en réprimant un cri, je me recentre, j’ajuste mon souffle et énumère les sept coups. Ma peau se couvre d’une pellicule de sueur .Mon régent m’encourage et me dit qu’il ne reste plus que cinq coups de chaque côté. Je veux bien endurer cela puisqu’Il me le dit, pour Lui, pour Son plaisir.
Il fait tourner ma tête et me demande d’ouvrir la bouche et s’empale dans ma gorge, je vais aussi loin que je peux, je sais qu’il aime me sentir au plus loin.
Son désir enfle en moi , je le sens vivre, palpiter. Il vient se planter derrière moi et son fluide s’éparpille sur mon épiderme ardent.
Une nuit de sommeil répare les stigmates de cette soirée physique mais il y a peu de répit. Pendant la pause déjeuner mon Maître me fait visionner un film et il n’attend pas la fin pour me pousser vers un divan, il me fait plonger par-dessus le dossier , mon postérieur dirigé vers le ciel, je suis à Sa merci, Il me pilonne sans relâche, mon trou est encore frémissant de cette nuit, je ne sais pas si je vais tenir. Peu importe il le faut. Presque brusquement cela s’arrête. Un autre exercice : frustration.
Je repars chancelante, Il me laisse dans cet état, presque hébétée, stoppée juste au bord, grande frustration.
C’est un Maître fier de sa soumise qui vient te féliciter pour ce magnifique témoignage.
Je te remercie d’avoir su faire revivre ces moments très intenses et passionnés au travers ton récit qui n’est que le premier d’une série qui ne fait que commencer.