Un début de semaine rayonnant à travers les nuages





Je viens d’arrivée à l’arrêt de tram nous sommes Lundi, il pleut. Je préviens Monsieur Dyonisos de mon arrivée. Il m’indique alors son emplacement vers lequel je me dirige, dévoré par la peur et l’excitation ! Je ne l’avais même jamais vue avant ! Je repère sa voiture et j’avance doucement vers celle-ci d’un pas uncertain. Je rentre à l’intérieur, à coté de Monsieur Dyonisos, je le vois enfin ! Je lui fais une bise puis nous démarons.

Au bout de 10 minutes de trajet parsemer de quelques paroles, nous arrivons à sa maison, je le suis alors jusqu’à la porte. Il m’invite gentillement à me mettre à l’aise, je pose alors mon sac et je me déchausse, je sens de plus en plus l’excitation monter.
Nous nous installons sur le canapé, il entame alors la discussion puis nous discutons de sujet divers et variés tous très intéressant. Cela prend du temps, je prend mes aises et parle beaucoup. Après ce long interlude relaxant, les choses s’accelère.

Monsieur Dyonisos m’incite alors à le suivre dans une chambre, je commence à être gêné… Il m’ordonne de me déshabiller pendant qu’il revient, je conserve uniquement ma lingerie bordeaux qu’il complimente au passage, je balbutie un timide « Merci ».

Il me fait alors m’asseoir et m’attache patiemment des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles et me met un collier. Il m’ordonne alors de me mettre à quatre pattes et entame directement ma première punition avec une trentaine de fessée régulière, mes fesses rougies et mon excitation m’envahit lentement. Il me met ensuite un bandeau sur les yeux puis me met debout, il me prend par la mains me faisant me diriger vers le salon, je me sens appeurée mais terriblement excitée…

Il me fixe contre une poutre et me fait levé les bras pour m’attacher les mains au plafond avec chaines je commence à me débattre, me sentant doucement prisonnière de ses désirs… Il commence alors… il sort une roue de Wartenberg et commence à la passer un peu partout sur mon corps… je frisonne d’excitation ! Il va doucement de haut en bas. Il enchaine en me fouettant le ventre, les cuisses et mes tétons avec un martinet. Il sort ensuite une wand et la pose sur mon corps, il arrête un instant, m’embrasse et va cherché trois tubes. Les voyant je pris peur sachant à quoi ils servent. Il commence alors à pomper mon organe, la sensation est supportable. Cependant il commence alors a installé les tubes sur mes tétons. Je sens la douleur monter et tandis que mes tétons se dilatent, je commence à gémir très fort de douleur, en même temps il passe la wand contre le tube du bas. Il finit alors après un instant qui m’a paru interminable tellement j’ai gigoté, torturer par la douleur, par m’enlever les pompes, je gémis alors de soulagement. Il m’enlève alors le cache-oeil un instant m’invitant alors que je suis extrêmement gêné à regarder mes tétons devenus gigantesques, je fuis du regard en rougissant et en me mordant la lèvre. Il me remet alors le bandeau et me plie la jambe droite en arrière pour ensuite m’attacher la cheville par une chaine au plafond. Je me sens de plus en plus impuisante et cela m’excite énormement…

Il passe à nouveau la roue de Wartenberg sur mon corps passant cette fois-ci sur mes endroits sensibles, il appuie lentement dessus, je gémis… il me fouette encore une fois avec le martinet, cette fois-ci plus fortement et rapidement, puis il me caresse sensuellement… Il commence alors à me branler, je me débat beaucoup… Il me fesse alors violemment les cuisses pour me les faire descendre… Il me fixe ensuite deux pinces à mon entrejambe puis une à chaque tétons, je gémis de douleur, mon excitation et ma souffrance se mélange alors dans un tourbillon aveuglant, je commence à ne plus pouvoir penser, je ne fais que ressentir l’excitation, la douleur et la sensation sur ma peau… Je suis alors plongé dans une bulle en dehors du temps. Il passe alors la roue sur tout mon corps, puis la wand dans mon entrejambe, vibrant contre les pinces en métal. Il finit après un long moment par me détacher les pinces des tétons, me plongeant alors dans un long baiser mélanger à mes gémisements de soulagement. Il me détache ensuite les mains et la jambe. Je ressens à nouveau mes membres détendus, un semblant de liberté.

Il me rattache directement les mains dans le dos et me fouette avec le martinet les cuisses et les tétons, je gémis de douleur à nouveau, mon excitation ne faiblit pas. Il me tire alors par les pinces de mon entrejambe, m’ordonnant de le suivre vers la chambre. Il me fait alors m’allonger sur le dos, sur le lit. Il m’attache alors les chevilles au coin du lit de sorte a avoir les jambes bien écartées et tendues puis il m’attache les poignets avec des chaînes au dos du lit dans les coins, je me débat beaucoup. Je me sens alors comme une proie toute fragile et à sa mercie, qu’il va dévoré. Il me glisse une sorte de pâte bleu dans mon organe, je me débat beaucoup, posséder par la peur, je réussis alors à le mousqueton de mon poignet droit et j’essaye rapidement de me détacher le gauche avec le droit. Monsieur Dyonisos me plaque alors le bras et s’assoit entre mon corps et mon bras pour le bloquer. Il m’installe alors une sorte de dispositif, j’ai peur, je ne sais pas la sensation que cela procure… Alors il met le système en marche, de l’éléctricité ! Je gémie de surprise et de douleur. Il me fouette encore une fois avec le martinet puis, il désactive l’éléctricité un instant pour me poser une sonde d’urètre, à l’approche de celle-ci, je commence à le supplier en pleurant de ne pas me la mettre, je me débat, il commence à l’enfoncer, ça fais mal…

Il finit alors par me persuadé de ne pas bouger en précisant que cela ne fera pas mal si je ne bouge pas. Alors de toutes mes forces j’essaye de ne pas bouger et la sonde glisse sans encombre. Monsieur Dyonisos me rappelle alors à l’ordre pour avoir contester ce qu’il avait dit. Il m’enfonce alors un objet de forme phallique dans mes fesses, d’un coup ! Je crie de toutes mes forces… ! Il me le laissera jusqu’à la fin…

Il me fouette à nouveau et se pose à côté de moi. Le dispositif éléctrique encore activé, il se dirige tout doucement vers ma bouche. Il m’oblige à accélerer de plus en plus en augmentant la tension, l’excitation est à son comble : je souffre, je pleure, je crie, j’ai peur, mais j’ai l’impression d’être au paradis… Je le supplie de tout mon coeur de ne pas augmenter en pleurnichant et en accélerant mon mouvement… J’accelère ! J’accelère ! puis… je sens la fin de la séance sur ma joue et mes cheveux…

Il me détache alors lentement et m’enlève de dispositif de mon pubis. Je m’assis alors sur le lit en tailleur, attend patiemment que à la suite de ses aller-retour, Monsieur Dyonisos m’ordonne de me rhabiller, ce que je fais alors. J’ai du mal a enfilé mes vêtements, étourdie par l’excitation. Nous repartons alors ensemble, jusqu’à sa voiture, puis, il me ramène chez moi. J’étais encore rêveuse à ce moment de cet instant que je revivais en boucle.

3 Replies to “Un début de semaine rayonnant à travers les nuages

  1. Tout d’abord je te remercie pour cette très belle séance et pour ce récit qui montre à quel point tu as vécu ce moment de façon intense.
    C’était une première pour moi également et j’espère que tu en garderas un bon souvenir.

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