Ce midi, je dois rejoindre Ypérion pour déjeuner chez lui. Je sais qu’un ami est passé le saluer.
Il m’envoie ce message imprévu :
Viens
Mets toi nue en entrant pour dire bonjour à mon ami.
Un frisson d’excitation me parcourt. J’étais prête, j’attendais un signe pour me mettre en route, je pars. Arrivée devant chez lui, je me gare , un éclair fugace d’appréhension traverse mon ventre. Allez j’y vais .
Je suis au seuil de sa porte, au seuil d’une aventure inconnue.
Ypérion m’ouvre, j’entre il m’encourage à aller au devant de son visiteur , je le salue. Il a l’air quelque peu intimidé.
J’enlève mon manteau, Ypérion me dit de me déshabiller. Je me présente devant Michel, assis sur le divan, pas de culotte, je ne porte que mes bas et mon soutien -gorge, hissée sur mes bottines ,seules alliées qui me donnent un peu d’assurance. Mais devant le regard appréciateur de son invité, je reprends un peu d’aplomb.
D’un geste, Ypérion me fait signe d’ôter mon balconnet. Je me dégrafe et laisse choir ce petit bout de tissu.
Il m’ordonne ensuite de saluer maintenant correctement Michel, en me mettant à genoux devant lui. Michel a l’air fasciné que j’obéisse. Il dit que je suis charmante. Il a un sourire très gentil. Je lui susurre un bonjour en lui faisant une baiser timide , il glisse une main entre mes jambes et remonte le long de mes cuisses, trouve ma fente.
Oooohhh je suis déjà suintante de désir. Il insère son doigt pendant qu’ Ypérion nous observe d’un œil grivois depuis son fauteuil.
Mon Maître m’ordonne de pivoter , afin que cet invité puisse admirer mon cul . J’obtempère et une main par terre, une main au mur je laisse le plaisir dévaler mes hanches alors que Michel se fraye un chemin de ses doigts dans mes méandres humides. Ypérion intervient en assénant la cravache sur mon bombé, elle claque et mes gémissements lui font écho. Plusieurs saccades suivent, je sens mon épiderme chauffer pendant que mes sens deviennent brûlants là, dans mon entrejambe et déflagrent dans mon cerveau. Mon souverain enchaîne avec maestria, calme et déterminé.
Le fouet, ami intime vient aider la cravache et ses filaments cisèlent mes cuisses, plus fort ,m’arrachant un cri.
Sadiquement Ypérion décide de stopper le jeu, laissant chacun avec son désir….
Son ami nous quitte sans envie.
Je remercie mon Maître pour cette exquise surprise.
Très joli récit Salomey !!
Ta façon de raconter est suffisamment claire pour apprécier l’intensité de cette soirée.